lundi 26 novembre 2012

Semaine 3 Diriger soi-même sa formation.

Après une pause, j'ai repris le mooc là où je l'avais laissé.
La conférence ayant eu lieu avec Denis Lamontagne m'a semblé intéressante dans le sens où elle m'a rappelé quelques points que l'on oublie souvent :

  • L'apprentissage est une démarche personnelle, volontariste. Ce qu'on apprend, on l'apprend par soi même, on apprend ce qu'on veut et quand on veut.
  • L'apprentissage se réalise par curiosité mais surtout par intérêt, pour le transmettre ou pour en faire quelque chose, le mettre en pratique.
  • Apprendre c'est discerner, effectuer des liaisons.
  • Apprendre, c'est comprendre, savoir et faire.
  • L'apprentissage se fait par l'étude (assimilation de savoirs) et/ou par l'expérience (la réalisation)
  • L'apprentissage peut être spontané, autonome. 4 étapes : recueillir des données ou expérimenter (observer/analyser), apprendre les données (mémoriser/ intégrer ou archiver), évaluer leur pertinence et enfin utiliser ces données (transmettre ou mettre en pratique) ; il y a à chaque étape une part d'évaluation continue, bien entendu.

Denis Lamontagne présente une forme d'apprentissage/ auto-apprentissage très systemique, basée sur le travail par définition, avancée pas à pas, notion par notion et mot par mot. En effet, il part du principe selon lequel on apprend que ce que l'on comprend, on apprend les choses auxquelles on peut donner du sens.
C'est une méthode simple et efficace mais qui suppose de délimiter le périmètre de ce qui doit être appris : il faut déterminer ce qui doit être enseigné/appris, sinon on ne peut rien limiter.
Par contre, il me semble que c'est une méthode à laquelle on devrait parfois revenir. J'ai souvent eu cette expérience en formation, ce retour qui me laisse penser que rien n'a été transmis. Ce qui est évident si l'on a pas tenu compte des connaissances préalables des gens formés mais aussi au vocabulaire utilisé. J'ai souvent eu le retour «c'est compliqué, on comprend pas » avec au bout du compte très certainement des gens qui n'ont pas compris des mots, même si ces mots ont fait référence à des notions ou expériences qu'ils ont déjà eues. Les gens doivent réaliser trop d"effort pour suivre la formation, et si il leur manquent, ou si une notion leur échappe, ils sont perdus. Du coup, ils abandonnent voire ont des réactions épidermiques. 


lundi 5 novembre 2012

Semaine 3: définition et élaboration d'un PLE


Avant d'aller plus loin, je suis revenue sur la semaine 3 du Mooc et notamment la conférence avec Jacques Cool sur la façon de diriger soi-même sa formation.





J'en retiens quelques idées qui me semblent importantes à ce moment-ci de ma réflexion notamment concernant la formation, d'une part en tant qu'apprenante et d'autre part en tant que formatrice (gestion des apprentissages des apprennants) :


  1. L'émergence des LMS qui a entraîner un besoin pour les formateurs et les responsables de formations d'innover dans la communication et le développement du synchrone/diachrone, dans la mise en place de plateformes, dans la nécessité de gérer la distance géographique. C'est quelque chose qui m’apparaît chaque jour dans mon travail de façon toujours plus probante à l'heure de gérer des élèves mais aussi des équipes de travail.
  2. Le besoin de développer des systèmes et des formations adéquats pour les personnes formées, pour que les formations puissent aussi être personnalisées. Les personnes que je rencontre en formation sont très différentes tant dans leurs acquis au début des formations (et aussi dans leurs aptitudes dans le numérique) tant sur les objectifs personnels qu'ils peuvent avoir, d'où la nécessité d'avoir des plateformes permettant la diffusion de contenus communs mais aussi le développement de quelque chose qui se rapproche du PLE et l'apport des contenus par les apprenants eux-mêmes (un peu comme nous dans le mooc ! )
  3. La mise en place d'un système personnel, bref un PLE, en 4 facettes : le travail en équipe, le classeur/portfolio, la veille/ recherche et la restitution/ diffusion. Avec un choix d'outils simples et pertinents, mais surtout pas un surnombre d'outils sans fonction définie. Commencer avec trois outils par exemple twitter, diigo et un blog.
  4. Tenir compte des 3 dimensions de la formation et du PLE : dimensions sociale, technologique et personnelle. Essayer de respecter un équilibre, pour soi même mais aussi dans ce qu'on peut demander en tant que formateur.
  5. La nécessité de paramétrer les outils pour être performants (ne pas être noyer mais récolter les informations souhaitées, essayer de ne pas passer à côté de quelque chose d'important).
  6. La notion de sérendipité. Beaucoup d'infos nous parviennent « par hasard ».
  7. La qualité du PLE qui ne doit jamais être perdue de vue : efficacité du réseau/ personnes, évaluation de ses apprentissages (PKM), choix des tags suivis, organisation et gestion des informations efficaces, objectifs du PLE clairs.
  8. L'importance des liens forts et faibles, la circulation des informations et la « collaboration » est souvent plus facile avec les liens faibles.

Ayant déjà débuté un PLE, le problème ou la gène qui m'est le plus fréquent c'est l'impression de bazard, la notion de n'être pas organisée, pas efficace. Une partie de la réponse est certainement ici. 







mardi 30 octobre 2012

Organisation du PLE: utilisateurs et blogs


Dans la veille que j'effectue sur l'enseignement des langues, il est évident que twitter tient une place importante de mon dispositif. J'y suis de nombreux utilisateurs qui traitent de sujets qui me tiennent à cœur : l'enseignement des langues en particulier.
Voici quelques comptes intéressants :

Au niveau des blogs que je suis, pour n'en citer que quelqu'uns en plus des blogs des utilisateurs twitter cités plus haut:
Il y en aurait pleins à citer... c'est juste un début.

Il y a des utilisateurs et cites bascophones aussi, mais je ne les ai pas listés aujourd'hui, ce sera pour une prochaine fois.  

Début d'organisation du PLE : les outils

J'ai passé en revue ce que j’appellerai mon dispositif d'information et de veille, c'est à dire les outils que j'utilise déjà, les blogs et utilisateurs du web qui me paraissent intéressants et que je suis depuis quelques temps déjà.
Je vais commencer par les outils et les fonctions que leur donne. Au risque de me répéter un peu, mais ça m'aide

Au fil du temps j'ai ouvert des comptes un peu partout, un peu pour les essayer, un peu parce que j'y ai vu, du moins pour certains, un intérêt :

  • Facebook : plutôt pour rester en contact avec des connaissances proches, utilisation personnelle avec niveau de confidentialité haut 
  • Twitter : utilisation plus publique et professionnelle dira-t-on, avec un niveau de confidentialité nul. Les tags que j'y suis sont surtout ceux relatifs à l'#enseignement, les #langues, les #tice et les langues minoritaires et parfois quelques tags ponctuels (par rapport à un événement par exemple). Les personnes que j'y suis sont parfois en rapport avec ses sujets. 
  • Google Reader : gestion des flux RSS des blogs intéressants et partage. 
  • Delicious : archivage et classement des articles intéréssants. 
  • Diigo : archivage et classement des articles intéréssants mais aussi fonction de mise en favori (pour les lire plus tard que ce soit en ligne ou hors ligne) 
  • Picasa : partage de photos. Utilisation privée 
  • Flickr : partage de photos. Utilisation privée 
  • Youtube : partage de vidéos, utilisation publique et pro) 
  • Blogger : publication de réflexions. 
  • WordPress : publication de réflexions. 
  • Skype : communication en groupe et synchrone. 
  • Scoop.it : mise en valeur et diffusion d'articles, dans le cadre professionnel à un groupe de personnes. 
  • Pearltrees : Collecte d'infos. Je n'ai pas beaucoup utilisé cet outil, il ne me plaît pas beaucoup. 
  • Storify : mise en valeur et diffusion d'articles, de façon très personnalisée. 
  • … plus quelques uns que j'ai du oublier... mais l'essentiel y est. 


Les fonctions que je leur attribuent ne sont pas forcément toujours dissociables et peuvent être multiples pour certains outils, … et j'avoue parfois pas très claires pour d'autres. Mais pour résumer : 
  • Une fonction de veille, de collecte de l'info : Twitter, Facebook, Reader notamment 
  • Une fonction de classeur : mes documents et sources sont organisés par mots clés : Diigo, Delicious, Scoop.it, Reader
  • Une fonction d'archivage : il est possible de les retrouver au moment voulu. Diigo, Delicious 
  • Une fonction de diffusion et de partage : Facebook, Twitter, Blogger 
  • Une fonction de publication : Blogger et WordPress 
  • Une fonction de communication et d'échanges légers : Twitter, Facebook, les blogs, Skype, … Bref tous les outils ;)

vendredi 26 octobre 2012

Réflexions sur mes apprentissages

La semaine 3 du mooc a été pour moi l'occasion de me pencher sur mes apprentissages, sur les modalités en particulier.

J'aimerai juste archiver mes impressions du moment ici, sur le blog, afin éventuellement d'y revenir plus tard et refaire le point. Pour ca, simplement je vais reprendre le cheminement proposé.



1- L'apprentissage informel

  • Aujourd'hui, est-ce que vous avez appris quelque chose ? 
  • Si oui, quoi ? 
  • Si non, quand avez-vous appris quelque chose pour la dernière fois ? 
  • Comme est-ce que vous savez que vous avez appris telle ou telle chose ? 
  • Que devez-vous faire pour retenir ce que vous avez appris, puis l'utiliser ? 
  • Comment apprenez-vous le plus : "par hasard'", au fil des jours et sans vraiment avoir l'intention d'apprendre, ou "volontairement", lorsque vous cherchez de l'information, des contenus, des témoignages... sur un sujet précis ? 
  • Avez-vous une passion, un sujet que vous adorez ? 
  • Pourquoi et comment en savez-vous plus sur ce sujet que sur les autres ? 

L'apprentissage informel est certainement la partie la plus importante de mes apprentissages. Les sujets peuvent être différents mais ont tous un lien avec l'enseignement, les langues, les mouvements sociaux. Les moyens, les ressources sont notamment ceux que m'offre le net et les réseaux sociaux, mais les pairs et les collègues, les gens que je peux croiser sont une source d'apprentissage aussi tant par les échanges que je peux avoir avec eux que par le partage d'expérience. Il y a de ce côté là des personnes en particulier que je cotoient tous les jours et sont de vraies personnes ressources par leurs parcours personnels et leur niveau de culture/ connaissance.

Il m'arrive très souvent d'apprendre par sérendipité au gré des lectures, ce qui peut parfois me donner l'impression d'aller et venir dans vrai but mais qui est au bout du compte un réél apprentissage qui permet certainement d'apprendre et d'intégrer à doses homéopathiques, sur des durées plus ou moins longues qui me permettent un certain décantage.

Il m'arrive également notamment sur un sujet précis (qui m'intéresse sur le moment ou pour des besoins ponctuels, par exemple professionnels) d'effectuer des recherches dans le buts d'apprendre : recherches d'informations ou contact direct avec des personnes ressources.

Mais au bout du compte, est-ce que j'apprends tous les jours ? Oui, non et presque.

Je suis en contact avec des informations nouvelles tous les jours (celles que je cherche et celles qui me parviennent pas de manière 'fortuite' bien que quelque part recherchées) par contre, je ne sais pas si je les apprends, car pour moi les notions sont apprises, lorsqu'elles ont été intégrées sur des schémas plus anciens ou plus larges et surtout lorsque ces informations ont conduit à un changement de mes pratiques, lorsqu'elles me font faire les choses différemment : en un mot lorsqu'elles sont intégrées en tant que connaissances ET qu'elles sont mises en pratique.
Bien que le mot stratégie soit un peu poussé, je dois dire que mon apprentissage informel est quelque chose qui est recherché, provoqué, à défaut d'être maîtrisé. En effet, s'il y a des sujets sur lesquels j'en sais un peu plus que sur les autres (et je n'utiliserai pas non plus le mot spécialiste, je ne le suis pas) c'est parce que j'ai des contacts et des occasions d 'échanger des infos qui sont très importantes : le net, les réseaux, les relations socio-professionnels, les évènements organisés autour de sujets particuliers (conférences, colloques, événement culturels, …), mes lectures, etc.


2- L'apprentissage formel


  • Etiez-vous un "bon élève" ou un étudiant brillant ? 
  • Vous souvenez-vous de la matière, du cours... que vous aimiez le plus, lorsque vous étiez élève ou étudiant ? 
  • Qu'est-ce qui fait que vous préfériez cette matière ou ce cours aux autres ? 
  • Avez-vous l'impression d'en avoir appris assez, lorsque vous étiez à l'école ou à l'université, sur cette matière ? 
  • Etes-vous devenu un "spécialiste" de cette matière que vous aimiez tant (au niveau professionnel ou tout simplement à titre privé) ? 
  • Après être sorti du système scolaire ou universitaire, avez-vous continué à développer vos connaissances sur cette matière ? 
Au niveau des apprentissages formels, il est vrai que mes études universitaires sont un choix par goût. Après une brève inscription dans une école préparatoire et des études scientifiques, j'ai préféré me réorienter vers ce qui me plaisait vraiment, des études littéraires et de langues.
Depuis, j'ai gardé un certain goût pour les formations dans un cadre formel, j'aime bien faire des cessions brèves autour de thèmes liés de prés ou de loin avec mes activités professionnelles. Ce que j'y apprécie est la possibilité de traiter d'un sujet durant un temps imparti mais aussi de croiser des gens et des formateurs.
Je ne cesse depuis la fin de mes études de découvrir des sujets nouveaux ou d'approfondir ceux que je connais déjà.

Pour finir ce que l'on peut dire de mon type d'apprentissage est qu'il est plutôt communicatif. Pour ce qui est des stratégies, certaines me conviennent plus particulièrement : beaucoup de questionnement, de répétition et de reformulation, de réflexion y compris à haute voix, visualisation, discussion mais aussi beaucoup de lectures et réappropriations, schématisation...

mardi 23 octobre 2012

Problématique de la langue


Ma participation au mooc itypa m'a mise devant une problématique qui n'est pas nouvelle pour moi mais qui à présent commence à soulever beaucoup de questions. C'est la question de la langue. Ce n'est pas vraiment un problème mais un paramètre à gérer et qui me tient à cœur. Je vais essayer de l'expliquer. 

Je suis bascophone, mon travail et mes activités professionnelles se font dans cette langue, la plupart de mes relations professionnelles et personnelles sont des personnes qui parlent basque. Une grande partie de ma formation, universitaire et professionnelle, s'est faite en basque.

Au delà de tout cela, mes convictions et mes engagements personnels font que je désire continuer ainsi. Il me paraît en effet capital de produire, diffuser et échanger dans cette langue, il est important que l'information soit aussi présente dans les langues minoritaires surtout si l'on veut qu'elles puissent survivre.
Or, au jour d'aujourd'hui, la majeure partie de la documentation à laquelle j'ai accès n'est pas dans cette langue. Il y a bien de nombreux articles, blogs, etc... qui sont en basque, au fil du temps et grâce à l'investissement de nombreuses personnes, il y a de plus en plus de ressources sur le web dans cette langue et elle est par ailleurs d'une grande qualité. Mais si on compare la quantité de ressources en français et celle en basque, la différence est énorme. On peut donc dire que mes ressources sont dans plusieurs langues : basque, français, anglais, espagnol... Si on se penche sur les réseaux sociaux, c'est pareil. Il y a sur mes listes des personnes qui communiquent dans plusieurs langues. Sauf que le premier 'hic' se présente par exemple lorsque je produits quelque chose ou que je le diffuse. Prenons l'exemple de Twitter. J'y ai créé un second compte, sur lequel je communique en francais. Au départ je l'ai fait d'instinct, parce que je ne me voyais pas diffuser des commentaires et des liens dans toutes les langues à une macro-communauté, pour la simple raison que les gens qui me suivent pouvaient vite se sentir noyés d'infos qu'ils ne peuvent pas comprendre et ainsi arrêter de me suivre. Par contre, il n'est difficile pour moi d'avoir une timeline qui traite de tous les sujets dans toutes les langues... 
Bref c'est une situation assez particulière mais qui n'est finalement pas problématique du tout mais peut prête quand même à réflexion. Jusqu'à présent j'ai reçu l'info dans plusieurs langues mais j'ai par contre rédigé et participé plus particulièrement en basque. Je pense continuer pareil, mais j'ai à présent pour objectif de développer ce que j'ai déjà (des ressources, des communautés, des relations...) à d'autres langues et d'autres publics, pour commencer dans le cadre du mooc, puis j'espère plus largement et sur le long terme au gré des rencontres que je ferai. 

Je vais continuer à rediffuser l'info dans la langue dans laquelle elle me parvient, que je participerai sur le web sans aucun problème par rapport à la langue dans laquelle je m'exprime. Mais il me paraît important dans la diffusion (notamment lorsqu'elle émane de mes réflexions) de la diffuser en langue basque. Il est évident pour moi que mes ressources seront dans toutes les langues que je suis capable de comprendre, par contre, si je produis une ressource, je préfèrerai de loin la produire dans ma langue, surtout si on considère qu'elle peut être une ressource de formation pour un autre locuteur qui estimera certainement de trouver des informations dans sa langue (par exemple si l'on en venait à organiser un mooc en basque ! ;) ) et il faudrait donc éventuellement pour cela traduire des ressources existantes.

En un mot une problématique qui n'en est pas une mais dont il faut tenir compte.
Je ne sais pas si d'autres participants du mooc sont dans le même cas que moi, si des gens ici sont bretons, occitans ou alsaciens et dans quelles langues ils effectuent leurs veilles et leurs publications. Mais il me semble important de développer, adapter, traduire, diffuser les ressources sur la toile dans toutes ces langues minoritaires, sur tous les sujets et sous toutes les formes. 

lundi 22 octobre 2012

Sujets et objectifs de mon PLE


Il est évident dans mon cas que je dois définir quelles sont mes attentes d'un PLE par rapport à mon activité. Je ne les ai jusqu 'à présent jamais exprimées de facon claire. Je vais donc m'y essayer.

Les sujets que je souhaite traiter dans mon PLE sur internet et par les moyens traditionnels sont :
  • L'enseignement des langues (aux adultes en particuliers) : méthodologies, pratiques et expériences.
  • L'utilisation des TICE dans l'enseignement des langues en particulier.
  • L'actualité des langues minoritaires.
  • La formation des adultes.
  • L'ingénierie de formation, former des formateurs.
Comme ça fait beaucoup, disons que je vais me centrer sur les trois premiers.

Les objectifs que je me fixe sont les suivants :
  • Mettre en place un système de veille efficace.
  • Apprendre, réapprendre, mettre mes connaissances à jour.
  • Recueillir des infos et des ressources sur les méthodologies d'apprentissage, les méthodes utilisées et les pratiques des enseignants.
  • Avoir des ressources suffisantes d'avance pour simplifier mes éventuelles recherches (sur un sujet précis, à un moment donné).
  • Analyser. Confronter mes idées, mes a priori,mes expériences à celles des autres.
  • Archiver et organiser les ressources pertinentes de manière efficace (et de façon à pouvoir les partager)
  • Diffuser les données de veille et de recherche de façon compartimentée (publics différents : collègues, élèves, public...)
  • Mettre en ligne le récit de mes propres réflexions et expériences.

La aussi, ça fait un peu beaucoup. Mais pour le moment je le laisse tel quel, même si il  va falloir à court terme définir des priorités ou procéder par étapes, ou bien à long terme la compléter, préciser, je laisse la liste comme ça aujourd'hui.
Tous vos commentaires sont bien sûr les bienvenus !!